Par Robert Bibeau

La crise sanitaire du coronavirus dévoile la soumission au grand capital international des larbins politiciens. Les gouvernements ont imposé la discipline de fer du capital à leurs sous-fifres scientifiques, sanitaires et médicaux stipendiés par l’industrie pharmaceutique pressée de valoriser son argent à l’occasion de cette pandémie surévaluée.

Les politiciens larbins ont été contraints de s’exposer afin de maintenir la terreur sur la plèbe quitte à frapper durement la bourgeoisie nationale, les petites et moyennes entreprises régionales et quitte à briser le pacte qui attache l’État des riches à la petite bourgeoisie courroie de transmission du pouvoir despotique sur le prolétariat.

Il faut que le grand capital international soit aux abois pour exposer ainsi ses larbins à la vindicte populaire. Peu de politiciens – en Occident du moins, le bloc impérialiste le plus compromis dans la saga pandémique – sauveront leur peau de laquais… un changement de la garde électorale est probable en 2021… mais auparavant l’industrie pharmaceutique souhaite engranger son fric.

Boris Johnson est le dernier thuriféraire en liste que le grand capital britannique consent à sacrifier au service de la City. Il y a quelques jours Boris a été mandaté pour annoncer ce que tous les épidémiologistes savaient déjà: apparition d’une nouvelle souche de coronavirus hors de contrôle. De prime abord, il semble qu’un clan concurrent – un clan opposé à Big pharma – ait décidé d’ébranler les piliers de la City où les titres pharmaceutiques et technologiques raflent la mise depuis que les vaccins et les thérapies géniques, sans validation, sont sur le marché de la santé pillé.

Le ministre britannique de la santé, trop crétin pour comprendre que ce génome mutant remet en question la pertinence et l’efficacité de la stratégie occidentale du «vaccin» tout terrain,  entonnait,  comme si de rien n’était, son refrain en faveur des vaccins de Big Pharma :  « Ce sera très difficile de la garder sous contrôle jusqu’à ce qu’un vaccin soit déployé », a-t-il ajouté, laissant entendre que les restrictions pourraient durer encore « deux mois ».  (1)

D’autant plus déconcertant que des spécialistes sonnent l’alarme depuis des mois: «Les dirigeants semblent persuadés que le vaccin va tout régler. La déconvenue sera dure. Et après, on fait quoi ? On reste confinés jusqu’à la fin de nos jours? se demande le Pr Bernard La Scola, médecin microbiologiste, virologue et directeur du laboratoire P3 de l’Institut Hospitalo-Universitaire en Maladies Infectieuses de Marseille (IHU), le 15 décembre 2020. » (2)

Pire encore, il y a deux mois environ, des médecins dissidents – refusant les subventions de Big Pharma – annonçaient  que déjà des dizaines de génomes mutants avaient été recensés et séquencés. Le docteur Louis Fouché de Marseille soulignait qu’il est inutile de créer un vaccin tant que le virus ne s’est pas stabilisé…pour ce faire des années sont requises. Écoutez plutôt son excellent exposé.

1.     Pr La Scola : « Le vaccin ne sera pas la solution miracle ». « Et après on fait quoi ? On reste confinés jusqu’à la fin de nos jours ? » (reseauinternational.net)

2.     Le nouveau variant de la COVID-19 décelé chez un patient en Italie (msn.com)

Source : Les 7 du Québec
https://les7duquebec.net/…