Par Régis de Castelnau

L’horreur du massacre perpétré en Palestine par Israël est devenue un scandale mondial. Un petit tour du monde médiatique sur Internet démontre d’abord la répulsion pour l’infamie et l’aversion pour cet Occident qui soutient quand il n’organise pas. Au spectacle de la lâcheté de l’actuel président français, on imagine ce qu’aurait été le comportement de Charles de Gaulle, de Jacques Chirac et même de François Mitterrand. Face l’impuissance du droit international et de son système sous domination américaine, à faire cesser cette horreur, on imagine aussi ce qui se serait passé s’il avait existé encore une Union soviétique. Vous savez ces horribles communistes qui mangent les petits enfants et ont fait 100 milliards de morts. Eh bien, il n’y aurait pas eu de génocide.

Tout cela, nous le paierons cher et nous ne l’aurons pas volé.

Alors devant cette situation, armés de leur insondable lâcheté morale les dirigeants occidentaux commencent à prendre des pincettes, et les belles âmes, habituels directeurs de conscience, des distances. Pantomime assez écœurante destinée comme le dit Sophie Bessis à se forger un alibi devant la scène de crime. Mais aussi un peu parce que commence à se profiler la catastrophe qui attend l’État d’Israël. Beaucoup constatent avec horreur que le projet sioniste n’a probablement plus d’avenir. On ne devrait pas s’attendre à ce que les victimes d’un génocide vivent aux côtés des auteurs de ce génocide, aux côtés de leur oppresseur doté de l’arme nucléaire.

Aussi, ce moment impose de revenir encore et encore pour qualifier ce qui se passe en Palestine : un génocide incontestable télévisé, documenté et en temps réel. C’est une question centrale et nous devons mener ce combat de la clarté, pour aider autant que faire se peut le peuple martyr.

L’évidence du « dolus specialis »

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Source : Vu du Droit
https://www.vududroit.com/…

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