Par Boualem Snaoui
Ce ne sont pas les idées qui manquent, surtout par ces temps chaotiques infligés au peuple de France en colère, en l’absence très remarquée de « la communauté internationale » acquise au pouvoir du capital, mais le temps, pour faire de la dérision au « Daoud 19 », le compagnon viral néo-francisé du commandeur « O’Macron » d’un système de l’Etat-civil (pour qui le peuple algérien est un régime militaire). Sans compter les signes démocratiques d’intimidation, glissés jusque sous les volets pourtant fermés de mon oreiller, pour imprimer dans mon petit cerveau la belle époque de « la démoctature » que nous vivons, dans la continuité de ce qu’on m’a fait un peu goûter démocratiquement dans un passé pas très lointain.
La « démoctature »
C’est vrai qu’en « Fronce », on n’a pas de système politico-militaire avec une « junte » au pouvoir, se consacrant 413 milliards d’euros sur sept ans (dont 13 milliards extra-budgétaires que les bidasses vont certainement gagner en jouant au loto) de l’argent public, et la troupe paramilitaire de 3000 kakis de la force amicale « EuroGendFor », décrite par Thomas Roussot déjà en 2014 comme une armée secrète privée, Police politique, judiciaire et pourvue de services secrets. En gros, elle ne ressemble pas du tout à « Wagner » ou à « Blackwater », cette armée privée très civile de l’oncle Sam !
Ici, c’est tout le peuple qui est détenu politique, et prisonnier de la figure géométriquement identifiée hexagonale, pour être lapidé par la religion de l’argent. Ce système, qui a réussi à inventer un new-régime hybride, est reconnu maintenant comme étant une vraie « démoctature » qui donne des leçons de « Droits de l’Homme » à la planète entière, surtout en mode « France à fric ». Le monde entier a finalement découvert que, pour nous, c’est Tian’anmen sans le « Tank man » (l’Homme au char) tous les jours, ce qui a inspiré à notre Commandeur « O’Macron » de faire un saut pékinois pour, disait un informateur du système sur « France un faux » le mercredi 5 avril autour de 9h, parler des « Droits de l’Homme » à Xi Jinping. Ce gars qui détient le micro de la vérité, genre le Benalla de « l’un faux », a juste oublié de rappeler aux auditeurs que même les Mollahs de Téhéran appellent à sauver les populations civiles en France, par la communauté désignée sous l’appellation « internationale » des franchisés du très grand Capital… C’est dire dans quel pétrin on nous mouline sur toutes les chaînes « d’un faux », où l’inversion des valeurs a atteint un niveau incommensurable de rationalité de la « démoctature »: le peuple, qui est une foule, est le méchant casseur, alors que le régime de la casse social, lui est gentil !! Mieux encore, ces journaleux de la même famille que le barbouze « El Kadi » nous expliquent avec beaucoup de sérieux que les gueux « s’é-Borne » tout seuls de joie sur la place publique, et qu’Elisabeth mobilise les tuniques bleues pour mettre fin à leur auto-flagellation trop impopulaire dans notre « démoctature ». Comment peux-tu ne pas y croire ?
A l’occasion de cette fabuleuse « faite » du peuple, il n’a échappé à personne la très grande mobilisation des soldats de la société civile et de leurs organisations (Organisations Gouvernementales appelées faussement –ONG- non gouvernementales) de « défonce » des droits de l’Homme, pour saisir les instances internationales, ou même pour organiser des conférences sous « presse ». Le printemps est une exclusivité pour les « Arabes » : il n’est pas le bienvenu à Paris, surtout avec le changement climatique des retraites que le régime impose de toutes ses forces au moyen du savoir-faire « fronçais », ce que MAM (Michèle Alliot-Marie, ministre des AE du système) avait proposé à la « peau-lisse » tunisienne en 2011, pour accompagner la bonne odeur révolutionnaire du jasmin pourri. Voilà à quoi les malheureux Tunisiens ont échappé !
Je ne peux pas en dire davantage sur la « démoctature », puisque, d’une part, tout le monde a vu les belles images des mêlées « Manu-Militari » de liberté, d’égalité et de fraternité entre la médiatique « peau-lisse » du système et le peuple des « sans dents » du capitaine de pédalo ; ce qui a d’ailleurs échappé au « Dilem » de la caricature néocoloniale en « Fronce » chez son employeur TV5 Monde. D’autre part, je ne veux pas trop forcer sur le portrait de cette « Intifada » hexagonale, car que ce régime n’aime ni l’humour, ni la dérision ; sauf dans le cas naturellement où c’est un produit manufacturé et labellisée sous le contrôle de sa pensée unique et cynique dominante ! Sinon pourquoi convoquerait-il sa milice de la justice pour menacer les contradicteurs de son régime, au Canada et à Paris ? Comme le militant Rafaa et le docteur A. Bensaada, je ne me sens pas du tout visé, non, non !!
La milice de la justice
Ne sachant donc plus à quel « sein » se vouer pour allaiter ses enfants collabos (Wled Frensa- Arew N’Frensa), la « Fronce » coloniale a déployé ses mamelons rabougris de bègues « con » férenciers au sommet de la collaboration « indigène » !Ceci dans « la grande dictature algérienne », le 4 mars 2023, sous le voile fruité de mousquetaires « avocats », ces tuniques noires aux idées brunes, qui constituent la milice de la justice de l’ordre, auparavant bien établie. Cette secte de la FrançAlgérie, testée positive au « Daoud 19 », a choisi sans « Tabou » (le général de la cinquième colonne) le mois de mars, mois des giboulées qui ne se perdent jamais, pour organiser l’attaque du peuple algérien, sous-couvert de la défense de leur barbouze « moustache-pistache ». Ne dit-on pas que le mois de mars est le mois des fous ? Tout est écrit à l’envers avec ces révolutionnaires avides de chair et de sang des innocents.
Ce qui est drôle, c’est de voir ce système colonial en perdition devant le peuple de France debout, généraliser les réquisitions administratives au-delà des travailleurs (interdits de grève) qui bataillent pour sauver un peu de nos retraites, en pensant à ces enfants collabos (Wled Frensa –Arew N Frensa), dont les pan-clotistes milices de la justice.
En plus des mensonges étalés sur leur plateau politique fêlé, en claironnant que le commandeur d’Algérie, Tebboune, aurait cité le nom de leur « moustache-pistache » comme étant un espion (Khbardji), comme s’ils n’étaient pas concernés par le qualificatif de néo-collabos, ils ont voulu nous vendre leur sous-produit colonial, manufacturé en Julian Assange d’Alger. D’ailleurs « le Canard se déchaîne » contre l’Algérie : après nous avoir vendu le raciste « Dilem » colonial en révolutionnaire, il vient de récidiver dans son édition hebdomadaire du mercredi 4 avril 2023, en faisant passer le « moustache-pistache » pour la journaliste Shireen Abu Akleh, cette femme à qui l’armée la plus morale du monde (de BHL) a fait exploser son cerveau trop curieux. Dans ce même article, glorifiant leur héros « éternel printaniste » du complot berbériste de 1980 (je ne me suis donc pas « Trumpé » en le citant parmi les « complotistes » de la « la Berbérologie et le Berbéristan »), « le Canard » toujours, qui boîte avec son titre « sous presse », fait passer la mythologique fille de son père pour mère-Teresa, qui envoie à son géniteur 25 000 livres sterling. Ce n’est pas du blé cultivé dans la pépinière de « Chatham House » de la princesse ? On dirait que Rachid M’Barki a trouvé un volatile de « France un faux » comme nouvel employeur !
Rachid Boudjedra, le vrai intellectuel algérien, celui qui a noué les poils du « complot colonial » de la « moustache de la pistache », n’est pas convié dans la presse civilisatrice des indigènes, car il y aurait le risque de le voir raser la pelouse de la prairie du mensonge généralisé. Si l’on comprend bien la « presse-fronçaise » et indigène, l’agent à Quai d’Orsay n’est pas financé par le CFI (Canal France International); et le câble Wikileaks 08ALGIERS1267, daté du 2 décembre 2008, rapporté par A. Bensaada, sur au moins une rencontre avec l’ambassade yankee à Alger, est un canular. C’est pour cette raison que Julian Assange est condamné à mort par l’oncle Sam, et que le barbouze El Kadi est un révolutionnaire soutenu y compris par l’ambassadeur yankee ! Et nous, nous sommes les animaux domestiques des colons ?
Pour revenir à leurs moutons, qui portent bien la toise de colonisés, on peut dire que le conclave colonialiste de cette milice de la justice, en date du 4 mars 2023 à Alger la blanche (qu’ils veulent transformer en brune), censé éclairer nos lanternes sur l’innocence de leur agent « moustache » de la même obédience, n’est qu’un théâtre de forfaiture politique ! Aucun élément contradictoire n’a été apporté aux accusations de collaboration (Khbardji) connues maintenant publiquement… Bien au contraire, puisque cette milice de la justice nous a même rétribués de la joyeuse information supplémentaire rapportée par « le canard déchainé » contre l’Algérie : « la mythologique fille de son père, membre de Chatham House du Royal Institute of International Affairs, animatrice de l’Institut (ISSRA) d’attaque du peuple algérien, a fait couler 25 000 livres sterling à son géniteur ». Le FIS Ghilès-Spartacus, salarié de l’entreprise familiale « Maghreb Emergent », et sportif professionnel de la Banque Mondiale, n’a donc rien donné à son ascendant ? Il doit avoir des oursins dans les poches !!
Rien que la forme de leur conclave, téléguidé par le système du FMI (France-Maroc-Israël), a été trahie par leur retransmission sur l’écran-télé de fumée (en mode « fourchette », de Jacques Bénet) de la génétique des populations, appelée « TV des Berbères » déjà par le sénateur romain Salluste. Se présentant donc en mode « épiciers », avec une bascule de l’injustice calibrée par les civilisateurs, ces reptiles (des vipères joliment décorées, et des serpents à sonnette) de la politique sont activés pour distraire la galerie coloniale, avec la carte de « la démoctature », en produisant le faux et son usage. Ils ne sont pas venus défendre leur pote, le « moustache-pistache » printanier, depuis le complot berbériste de 1980 fabriqué à Paris par le système colonial, mais orchestrer le procès de Nuremberg à l’envers du docteur Ahmed Bensaada, celui qui a brisé leurs jolies vitrines collaborationnistes. Pour eux les fachos sont beaux et leurs victimes sont des bourreaux !
Le militant Rafaa a démonté leur cabane révolutionnaire en carton, en divulguant leurs liens avec l’internationale fasciste reçue par la commission corrompue des « Droits de l’Homme » au « parle-ment » européen, où défilent les terroristes comme pièces à conviction des guerres humanitaires.
Pour répondre aux menaces de ces « démoctateurs » issus des batteries de l’élevage intensif du système du FMI (France-Maroc-Israël) pour abattre le peuple algérien de l’intérieur, Rafaa a flagellé le « mètre » Zahi, l’un de ces poids lourds indigènes (je ne parle pas de sa masse défiant l’apesanteur) d’un honorable qualificatif : « un inculte ». Ce dernier, y compris chez les collabos (Wled Frensa- Arew N Frensa), a été décoré pour l’éternité, avec la danseuse au gros ventre Nabila Smaïl, qui a fait son apparition après un lifting payé sans doute en Shekels, dans le salon de coiffure de l’apartheid d’Amnesty International. Si elle pouvait nous donner l’adresse de son jardinier capillaire, maintenant que l’on connait son employeur, on y courrait tous !
Le troisième pingouin en tunique noire, personnage de dessins « allumés » chez le Walt-Disney de la justice, qui a emprunté en partie la coiffure du titulaire du « Zelig d’Or », a été convoqué pour la décoration du plateau des fachos-fâchés. Il a beaucoup de ressemblance avec le mécanicien (pas Rachid) du palais de leur ami le roi du hachich et du bakchich. Ce scientifique a un CV scientifique tellement riche qu’il n’y a vraiment rien à dire à son propos : « Il a du sens, son vide, puisqu’il n’est pas vide de sens ». C’est le prototype à claques de la théorie de la régression, oh ! combien féconde, du cabossé des sciences de Lyon, à qui ses employeurs ont proposé de choisir entre le suicide, pour rendre service à l’humanité, et se tirer en boulet contre le peuple algérien. Il a choisi la seconde option.
La « meilleuse » veilleuse coloniale de l’équipe de ces tuniques noires aux idées brunes, qui a laissé tomber ses lunettes en format pare-brise sans essuie-glaces, est l’incontournable « Assoul la cagoule », cette autoproclamée leader du « Hirak à la banane ». Si, dans le passé, elle a inspirée la chanson « La Zoubida » pour Lag’f’, dans le cadre de l’émancipation de la femme algérienne, aujourd’hui elle met en pratique le folklore politique réservé à l’indigène qu’elle représente. Durant sa séance de danse du ventre, cette « fainéasse » a osé demander au chercheur A. Bensaada de lui ramener les preuves de la collaboration de son protégé « moustache-pistache » El Kadi ; Elle ne peut en effet aller les lire sur son blog public, vu qu’elle est occupée à prendre des photos avec le représentant de son système « Fronçais », son excellence François « La Goulette ».
Après le « cachir-saucisson » volé au peuple algérien et qu’elle refuse toujours de restituer, cette « indigène » (pilleuse de l’argent-public pour servir les colons, classée intellectuelle pour l’interview donnée aux « coupeurs des têtes » au Kamis, dans leur fascicule de « polarisation coloniale » en couture révolutionnaire), vient encore une fois de signer, avec son empreinte collaborationniste, son appartenance au système du FMI (France-Maroc-Israël). En effet, après avoir été débusquée avec les autres « complotistes » autoproclamés ténors du Hirak par le docteur A. Bensaada, dans son excellent travail en juin 2020 , cette « tunique noire » aux idées brunes avait promis (malheureusement au conditionnel), de porter plainte contre celui qui a réduit en poussière le plan concocté dans les laboratoires des généraux de l’armée de la société-civile. Si elle voulait vraiment accéder aux preuves qu’elle réclame, dans son tribunal bancal en cagoule coloniale, cette courageuse pétainiste de Bousachi serait simplement allée au bout de sa promesse « printaniste » non tenue ! Mais elle sait qu’elle ne peut pas prendre le risque de se voir dévoilée en traître du peuple qu’elle prétend défendre, dans le cadre du théorème d’inversion des rôles et des valeurs.
Enfin la résonnance de leur tambour révolutionnaire creux (puisqu’il est dépourvu de fond) et la forme de leur conclave téléguidé par le système du FMI (France-Maroc-Israël) ont été trahis par leur retransmission sur l’écran de fumée de la télé de la génétique des populations, appelée la « TV des Berbères » déjà par Salluste. Ils n’ont vraiment peur de rien, ces pingouins qui se sont offert une séance d’animation de théâtre politique, en affichant la feuille de route-d’attaque du docteur A. Bensaada, que le système de « Xavier Le Drain Court toujours derrière l’Algérie » leur a préfabriqué dans les coulisses du régime, pour nous dire qu’ils « sèment » !
Rafaa et Bensaada désignés Fellagas par les Khbardjia (collabos).
Qu’ils se rassurent, ces légumes qui se présentent en « avocats » (alors que ce sont des « navets », fruits exotiques indigènes, mais surtout indigestes), ils ne sont pas les seuls à déverser mécaniquement et à grand flots les belles paroles des parodies de Speedy Gonzalez, le député d’extrême-droite qui vice-préside l’amitié d’attaque de l’Algérie au parle-ment de « Fronce », contre le docteur A. Bensaada et le militant Rafaa. Comme tout marche à l’envers, ces derniers, qui sont en réalité les premiers, ont été désignés nouveaux « Fellagas » des temps néocoloniaux modernes, par les « démoctateurs » blanchisseurs des crimes contre l’humanité, définis par le peuple algérien sous la dénomination de Khbardjia (les collabos). C’est le prochain épisode avec « Khaled ça tourne », le dernier clandestin du « Pass sanitaire » autoproclamé détenteur du « Pass intellectuel » chez « les indigènes ».
Source: Algérie 54
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