Par le CPI
Ankara – CPI
Le Centre anti-désinformation du département de communication de la présidence turque a réfuté les allégations de l’occupation sioniste concernant le massacre de l’hôpital Maemadani de Gaza.
Le centre a déclaré mardi, dans un communiqué publié sur ses réseaux sociaux, que le quartier d’Al-Zaytoun, situé au nord de Gaza, « est une zone où des centaines de civils ont perdu la vie à cause des intenses bombardements israéliens pendant plusieurs jours », selon Anadolu.
Le communiqué indique qu’en examinant les photos du bombardement de l’hôpital, il était clairement évident que les munitions qui avaient la capacité de détruire la zone n’étaient pas le type de munitions utilisées par les forces palestiniennes.
Il a déclaré que les scènes diffusées par les comptes de propagande israélienne, prétendant qu’un missile palestinien aurait touché l’hôpital « remontent à l’année 2022 ».
À la suite du massacre et dans le cadre d’une action sioniste organisée, des médias israéliens ont publié une vidéo d’un lancement de missile qui, selon eux, était la cause du massacre de l’hôpital Maemadani dans la bande de Gaza.
Après des recherches menées par des experts, il est devenu clair que cette affirmation était incorrecte et il a été prouvé que la vidéo publiée par ces comptes avait été publiée en août 2022, soit au moins un an et deux mois avant le massacre sans précédent à l’hôpital. .
En suivant les comptes israéliens sur les réseaux sociaux, il est devenu clair qu’il existait un état de confusion et des informations trompeuses dans le but d’échapper aux conséquences du massacre, comme par exemple en affirmant qu’un dirigeant palestinien se trouvait sur place et qu’il était donc pris pour cible, puis désavouer sa responsabilité en attribuant l’événement aux factions palestiniennes, jusqu’à publier une vieille vidéo pour détourner l’accusation de l’avion d’occupation.
Il convient de noter que le porte-parole de l’armée d’occupation a d’abord justifié l’attaque sanglante contre l’hôpital, en affirmant que l’hôpital avait été averti plus tôt d’évacuer et qu’il n’y avait eu aucune réponse. Lorsqu’il est devenu clair que les bombardements sionistes avaient conduit à un horrible massacre, l’occupation a tenté de nier le crime avec de fausses allégations.
Le bombardement sioniste de milliers de personnes déplacées dans l’hôpital a entraîné la mort de 500 citoyens et la blessure de 600 autres.
Lors d’une conférence de presse parmi les corps des victimes, le sous-secrétaire du ministère de la Santé, Youssef Abou Al-Rish, a exposé une partie des fragments des missiles israéliens qui ont bombardé les déplacés.
Un médecin et des témoins oculaires ont fourni des témoignages confirmant que l’occupation avait commis ce massacre, qui a reçu une large condamnation internationale, islamique et arabe.
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Source : CPI
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