Par le CPI

Gaza – CPI

Un membre du Bureau des relations internationales du mouvement de résistance islamique « Hamas », Bassem Naeem, a affirmé que la cohésion religieuse et sociétale de notre peuple ne sera pas ébranlée par un événement isolé ou passant et que tous ceux qui traquent ne réaliseront de leurs batailles illusoires que la déception et l’échec.

Naeem a souligné que la bonne relation avec nos frères chrétiens n’est pas le résultat d’une position politique ou d’une diligence tactique pour des circonstances spécifiques, mais plutôt d’une religion et d’une conviction que nous adorons Dieu Tout-Puissant, basé sur le commandement du Saint Coran, pour la justice et la gentillesse envers eux, soulignant que les musulmans et les chrétiens sont les enfants de ce pays pillé, et ils en jouissent avec la pleine citoyenneté des droits et des devoirs.

Naeem a souligné que le Hamas a entretenu tout au long de son histoire des relations solides et profondes avec la famille chrétienne, et avec toutes ses sectes et églises dans la patrie et la diaspora, basées sur le concept de partenariat dans la patrie. Cette relation a été clairement démontrée à de nombreuses occasions politiques, sociales, religieuses et syndicales, et même dans la protection de la résistance et de ses hommes, et face à l’agression sioniste contre notre peuple.

Il a expliqué que nous vivons sous une occupation raciste et fasciste qui cible tout le peuple palestinien, qu’aucune distinction n’est faite entre un chrétien et un musulman, entre l’église et la mosquée, entre le moine et le cheikh, cette réalité haineuse nous appelle à unir nos rangs et à protéger certains d’entre nous, nos sainteté et notre héritage, face à cette agression brutale.

Naeem a refusé d’exagérer et de porter l’état de suprématie morale et de préoccupation patriotique au sujet de l’état d’erreur dans une circulaire administrative interne du ministère des Waqfs, qui a été formulée de manière ambiguë.

Naeem a déclaré: « Nous n’avons aucun problème à corriger ou à surpasser toute erreur, de quoi que ce soit, mais il a demandé si une erreur administrative pouvait être décrite comme un crime, un péché et une rupture avec le patriotisme, alors que restait-il des descriptions des espions et des comploteurs impliqués dans la coordination de la sécurité avec l’ennemi occupant ».

« Nous vivons dans des circonstances exceptionnelles et dangereuses qui affligent notre peuple et sa cause, tout le monde est tenu d’élever le niveau de sensibilité face à toute question publique, en particulier ceux qui sont en position de responsabilité publique », a-t-il assuré.

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Source : CPI
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