Le général Said Chengriha, chef d’état-major algérien, en visite à Moscou en juin dernier.

Par Tarek Benaldjia

Une attaque contre l’Algérie est en préparation. Un plan dangereux se prépare. Nos frontières sont visées !Il est possible d’observer les préparations conçues pour cet objectif dans tous les domaines : en politique intérieure, en économie, dans les opérations visant la psychologie social du front intérieur. Des développements étranges se sont produits, dans les relations avec les États-Unis et l’Europe, et les tensions avec le Maroc se sont accrues au cours des dernières 24 heures. Un plan d’attaque est mis en œuvre de toutes parts, à la fois au Maroc et à l’étranger. Une attaque horrible et vengeresse s’intensifie systématiquement contre notre pays. Une opération « organisée », qui transcende les pratiques politiques, les poursuites, la compétition, les préparatifs des élections et la culture politique, est menée sur un large spectre contre l’Algérie.  

Une campagne de destruction extrêmement vaste, vaste et dangereuse est en cours, pour manifester des tempêtes turbulentes d’ici le 19 décembre 2024 (1)! Cette compagne  sera exacerbée à des fléaux générateurs de guerres et de crises, qu’on ne semble le croire. L’impact de celle-ci n’a pas encore été évalué et le sera dans les prochaines années à venir (2023- 2024). C’est un programme qui court le risque de détruire l’Algérie, le risque de conduire le pays dans une catastrophe fatale. 

Le processus de terreur géopolitique a démarré.

L’histoire politique de l’Algérie n’a jamais connue une telle période, une coopération aussi « destructive ». Jamais le discours politique n’avait pris une forme aussi horrible, même lors de périodes difficiles ou de périodes extraordinaires.  Toutes les valeurs sacrées de l’État et de la nation ont été touchées, tous les principes anéantis ; un impitoyable « programme terroriste en apparence politique » menace maintenant directement l’intégrité du pays, son avenir, ainsi que l’unité et la paix de notre nation. 

La fondation de notre « maison Algérie mère patrie »  est visée au nom de la politique d’ingérence extérieure. Ils suivent une voie empruntée par les sionistes « Agresseurs géopolitiques » visant à détruire les moyens d’existence du pays. 

L’économie est visée. Les feux de forets, les hausses des prix, les grèves annoncées, les conflits d’idées : le désaccord entre les parties porte sur des opinions, des points de vue différents, perçus comme opposés. Les conflits de valeurs : le différend porte sur un choix de vie, une idéologie.  Les conflits d’intérêts : il y a divergence sur les intérêts de chaque groupe ou personne. Sont tous utilisés comme des armes pour préparer le terrain à un conflit social. Des préparatifs sont en cours en collaboration avec nos ennemis pour tester la réaction des autorités d’un soulèvement interne ou à la prise de pouvoir par la force.  La sécurité de l’Algérie est visée. Une sinistre feuille de route est en train d’être appliquée pour ramener le pays à ses anciens jours de terreur. 

L’influence croissante de l’Algérie à l’étranger dérange, c’est pourquoi nous sommes attaqués et visés. À cet égard, des alliances se nouent avec l’entité sioniste et des unités hybrides armés jusqu’aux dents, relevant de la région du (Makhzen et du Haftar) s’opposaient farouchement à l’Algérie montante. Une horrible attaque interne était menée l’été dernier sous le nom des séparatistes berbéristes. Selon notre évaluation des situations il s’agirait, vraisemblablement de la première attaque du triumvirat (Berbéro-Makhzeno-Israélien).

L’existence et l’avenir de l’Algérie sont visés. 

Les attaques des forces du mal qu’ils ont lancées contre nous dans la région, ainsi que les attaques menées à travers ce « triumvirat » qu’ils ont construit à l’aide des forces occultes de l’intérieur sont toutes les mêmes. Ils utilisent le même discours dans les capitales européennes, les mêmes arguments et leurs objectifs sont les mêmes. 

Lorsque vous les regardez attentivement, vous verrez qu’ils ne font qu’un. Un plan pour affaiblir, épuiser et détruire l’Algérie après l’avoir mis en pratique par ceux la même, progressivement, étape par étape. Les attaques sont toutes assujetties sous la forme d’un programme unique, émanantes des agendas étranger plus susceptibles d’être le théâtre de ce type d’événements horribles. 

Les terroristes du Mak et Rachad, sont au centre de ces préparatifs

Les membres de l’organisation terroriste (Rachido-Makiste) sont à nouveau mobilisés. Ils sont activés dans les domaines du droit, de la politique et du monde des affaires. Ces entités reprennent leurs positions dans le réseau de ce nouveau dispositif. Ils se positionnent en plein cœur de cette nouvelle préparation. L’affaire dépasse maintenant largement le fait de profiter des votes du prochain scrutin. Les valeurs sacrées du pays ont été tellement dépassées que des partenariats clandestins et indirects se sont déjà noués avec ce dangereux  triumvirat composé d’entité israélienne du makhzen marocain et les membres de l’organisation terroriste (Rachido-Makiste)

Comprendre les rivalités entre les uns et les autres n’est pas chose aisée. Des rancœurs également alimentées par la rivalité  entre algérien avec ces entités. Il convient toutefois ne pas négliger cet aspect qui influe par bien des égards sur la politique extérieure des États notamment maghrébine au premier rang desquels on peut compter le Maroc et l’Algérie.

Le délégué permanent du Maroc auprès des Nations Unies, Omar Hellal, a appelé à « l’indépendance du peuple kabyle », en Algérie. Parmi les retombées de la déclaration du diplomate marocain figurent les mesures de rétorsion prises par l’Algérie contre le Maroc, s’agissant notamment du rappel de l’ambassadeur, de la rupture des relations diplomatiques, du non-renouvellement du contrat d’acheminement du gaz algérien vers l’Espagne via un oléoduc qui traverse le territoire marocain et l’interdiction faite aux avions marocains de survoler l’espace aérien algérien.

Le résultat logique de ces alliances est l’extrémisme. Ceux qui disent qu’on aurait dû mieux soutenir les soi-disant modérés auparavant, oublient ce qui arrive lorsque les États s’effondrent et que les milices prennent la place de l’État. Les gens se réfugient dans des appartenances identitaires plus primitives, et ce sont les milices extrémistes qui prennent le dessus. Ces entités et cette guerre ont le soutien de l’Amérique, de l’Europe, d’Israël et du royaume marocain qui s’inquiètent de l’essor de l’Algérie et de sa transformation du cours de l’histoire, de sa transmission des aspirations historiques et réalités politiquo- économiques qui continuent d’illuminer les chemins de la jeunesse aujourd’hui pour une Algérie nouvelle.

Une minorité de la  diaspora vendue à des organismes étrangers et quelque pays du Golfe ont joué un rôle crucial dans l’émergence de l’insurrection en Algérie , d’où la nécessité de comprendre pourquoi, cela a rendu les terroristes tributaires d’acteurs extérieurs

Tout ce soutien extérieur que les membres de l’organisation terroriste (Rachido-Makiste) ont reçu a éloigné ces groupes de leur propre société. Ce n’est même plus un secret de polichinelle, Les infidèles au pays d’origine sont organiquement liés à leurs commanditaires de l’extérieur et accordent une grande importance à leur bien-être. C’est souvent parce qu’ils reposent sur leurs marché commun pour leur approvisionnement et d’autres formes de soutien. Si un groupe est financé de l’extérieur et n’a pas besoin des autochtones, il peut terroriser une communauté ou se moquer de provoquer sa destruction.

On peut affirmer que l’Algérie a toujours été considérée comme l’objectif  le plus stratégique de tous les États affectés par les printemps arabes, et ceci est prouvé par plusieurs guerres hybrides désespérées que l’empire ait déclenché contre elle.

Étrangement, ils suivent tous une trajectoire fatale visant à provoquer le pays, la nation, à déverser les gens dans les rues, à préparer le terrain pour des poursuites non électorales, à ouvrir la voie au chaos interne, à ramener le terrorisme dans les villes, et gagner en puissance à travers tout cela.

Un complot pour se venger de la position actuelle de l’Algérie

Réfléchissez à ce que feront ceux qui profèrent de telles menaces alors qu’ils sont dans l’opposition (le front d’ingérence intérieur combiné des islamistes radicaux et berbéro-  sioniste), s’ils arrivent au pouvoir. Ils se vengeront à des échelles inimaginables, lanceront des attaques et une opération de purge. Ils déclareront probablement plus de la moitié de la population du pays comme une menace et les opprimeront.  

L’agressivité affichée dans le discours de l’opposition établie à l’étranger se transformera en vengeance s’ils accèdent au pouvoir. Ils le disent déjà eux-mêmes de toute façon. 

L’arrestation des  « Dahdah et les groupes séparatistes-makistes de Tizi-Ouzou » Ainsi que,  les lots d’armes récupérés par les services de renseignements algérien montrent sans l’ombre d’un doute, que s’il y avait une intervention de l’extérieur, ils détruiraient l’Algérie de l’intérieur, ouvriraient les portes de la forteresse et remettraient la clédu pays au front assaillant.

Une fois de plus, le front d’ingérence intérieur combiné des islamistes radicaux et berbéro-  sioniste, a adopté une position ouverte en faveur des fronts d’interventions internationales, du terrorisme, de l’encerclement de la forteresse de l’extérieur et mener conjointement leur sale boulot à la destruction du pays à l’intérieur. Sinon quelle raison pourrait expliquer une telle alliance contre nature ? Sinon la liquidation géographique, historique de cette région.  Ils n’ont été initiés que pour ce projet !

Ces entités et cette guerre ont le soutien de l’Amérique, de l’Europe, d’Israël et du royaume marocain qui s’inquiètent de l’essor de l’Algérie et de sa transformation du cours de l’histoire, de sa transmission des aspirations historiques et réalités politico- économiques qui continuent d’illuminer les chemins de la jeunesse aujourd’hui pour une Algérie nouvelle.

Ce projet, qu’ils promeuvent sous la forme d’une opposition politique pour «faire tomber l’Algérie» et de la recherche d’une alternative politique interne, est en fait un grand projet visant à ramener notre pays dans le giron des puissants et le soumettre sous sa tutelle. 

Nous assisterons à cette lutte géostratégique tout au long du siècle actuel.

Ils n’attendront pas décembre 2024 jusqu’à  élire un nouveau président. Ils ne croient en rien de tout cela, sinon, ils n’auraient pas entamés leur attaque ?

Nous savons déjà que 2024 ne sera pas une élection présidentielle normale. Nous savons déjà qu’une confrontation extrêmement difficile sera organisée. On sait déjà que la « volonté multinationale » va être directement impliquée dans le processus des présidences prochaines. 

Cette intervention est déjà claire. Mais il y a plus que cela pour le moment. Ils n’attendront pas les élections du décembre 2024. S’ils parviennent à faire mûrir les circonstances à temps, une autre attaque plus robuste viendra s’ajouter peut être à regretter.

Une attaque géopolitique est en cours. Ils courent le risque de plonger l’Algérie dans un grand chaos, si rien n’est fait.  Mais cette attaque ne peut s’interpréter avec cette seule grille de lecture. Cette attaque hybride, cruelle de toutes parts, aspire toutes les forces régionales à laquelle s’ajoutent des djihadistes européens qui combattent aux côtés de Daech mais aussi des milices sunnites-chiites internationales venant du Liban, de l’Irak ou de l’Afghanistan qui combattent au côté des troupes régulières américaine et des milices Wagner au côté de Haftar en Libye. À ce jour, aucune véritable solution militaire ou politique ne semble vraiment s’affirmer.

De quel type d’intervention parlons-nous ? Quelque chose comme dans le cas actuel de l’Algérie? 

Actuellement, le Maroc et ses alliés de toujours la France et l’Israël attaquent l’Algérie de toutes leurs forces. Un mini « front assaillant» a été établi dans chaque direction : l’Est, le Sud et l’Ouest.  Ils le disent et le montrent ouvertement à la fois à l’intérieur et à l’étranger de toute façon. Ils l’on dit haut et fort: « Nous arrêterons l’Algérie après la Syrie ». 

Il est donc important de voir, comment la cartographie d’assiégée  l’Algérie se présente et comment elle décrite les contours d’une région, au risque de s’embraser dans le chaos. Ce dont nous sommes tous conscients.

  • Aux niveaux des quatre points cardinaux :
  •  Nord méditerranéen, nous avons l’OTAN représenté par la France et des pays occidentaux ;
  • Au sud ouest : Des groupes djihadistes installés en Libye  ajouter à cela, les unités opérationnelles du général mercenaire Khalifa Haftar, embusqués à l’effet d’exécuter les plans  et les cartes d’intervention susceptibles de remodeler les cartes géopolitique de toute la région ; Le déploiement des troupes de Haftar aux frontières avec l’Algérie, laisse supposer plusieurs scénarios ?
  • A l’ouest : La liaison dangereuse entre Le Maroc, l’entité sioniste et les Emirats arabes unis. Engagés dans une coalition à réaliser les objectifs établis par les forces -assaillantes dirigées contre l’Algérie et de s’emparer du Sahara occidentale ;

Des médias internationaux spécialisés, ont révélé sans surprise  les forces participantes aux manœuvres « Africa Lion 2021« , en chasse de nouvelles proies qui se déroule désormais dans le sud du Maroc. La plus grande manœuvre militaire dans le continent, planifiée et conduite par l’US Army. Elle comprend des manœuvres terrestres, aériennes et navales Ces mêmes forces  ont mené des opérations militaires simulant l’attaque de deux cibles concernant le système de défense aérienne russe « S-400 » implantés dans le sud algérien.

  • Au sud : On a également relevé depuis quelques années un intérêt certain de l’AQMI pour le Sahel (G5) qui est devenu un des principaux bassins de recrutement de l’organisation terroriste. Il a été  relevé également la présence des éléments du MAK (Algérie) et des groupes djihadistes des régions du G5. Le tout sous la supervision du

Triumvirat : France ; Israël et  le Maroc.

L’encerclement et la limitation de l’Algérie reste pour le moment un chantier inachevé. La mise en application du projet affecterait en particulier l’Europe. Dans ce contexte, l’Afrique du nord est devenue un des plus importants domaines de test. Désormais la elle deviendra régulièrement la scène de tension géopolitique, géoéconomique et militaire. Celui qui restera déterminé et patient, sera le grand gagnant de la tension.

En novembre 2019, le président Emmanuel Macron a déclaré que l’OTAN avait subi une mort cérébrale et qu’il y avait un manque de coordination entre les États-Unis et les alliés de l’OTAN. En novembre 2018, Macron a proposé la création de l’armée de l’UE et, d’une certaine manière, suggéré l’abandon de l’OTAN et a exigé la création d’une armée internationale avec la France comme puissance active. Cette situation doit être évaluée en lien avec la volonté de Macron de faire de la France un État assaillant dans les relations internationales.

Les développements vécus ces dernières mois en Algérie, ont permis de mettre plus clairement en évidence le branle bas de combat relative à la lutte géopolitique dans le bassin ouest-méditerranéen, comprenant l’Afrique du nord. Il n’y a aucun doute que cette région que l’on peut qualifier de zone de lutte super géopolitique, sera dans la période à venir, la région où sera vécue très intensément la concurrence à multiple acteurs.

Rester en mode défensif est un suicide pour l’Algérie

Rester en mode défensif est une défaite et un suicide pour l’Algérie. Le pays a fait une percé majeur au 21e siècle. IL n’a pas attendu l’assistance de l’Europe pour le dégager du terrorisme international,  il s’est défendue tout seul contre chaque attaque, il est allée plus loin dans ses luttes. Malgré qu’il était en proie à une crise politique majeure, il  s’est étendu  trop vite à la sécurité, à la préservation de ses institutions et à consolider sa géographie en augmentant sa puissance militaire. Il a éliminé ces attaques, les unes après les autres. Aucun État, quelles que soient la puissance ou la sophistication de son arsenal militaire, ne peut assurer seul sa sécurité. Bien sur l’Algérie a réussi à le faire à l’égard des grands résultats stratégiques!  

Mais ne pas s’y  préparé, c’est laisser la possibilité à d’autres acteurs d’avancer leurs pions dans notre géographie stratégique et les candidats ne manquent pas : Français, marocains, israéliens Emiratis sans oublier les groupes terroristes… Très compliqué, vraiment !

Je peux me tromper, mais je crois vraiment que l’Algérie a gagné la première bataille d’une partie qui est la constitutionalité de ses interventions militaires dans ses domaines de compétences. Assume ses missions constitutionnelles avec un engagement exemplaire ainsi qu’une disponibilité héroïque au sacrifice, chaque fois que le devoir national le requiert.

Maintenant ils reviennent, et ils se heurtent à cela, donc il y a un grand danger que des gens quittent le parti pris de « l’Algérie avant tout ». Il y aura une autre onde de choc avant 2024. Ils se préparent pour la circonstance. C’est plus que des préparatifs pour les élections. C’est une préparation destinée à porter un coup dur à l’Algérie, à l’arrêter, puis à la réduire. 

Quelle personne impartiale et raisonnable pourrait nier que les intrigues en cours en Algérie ne préparent pas la réalisation de ce dessein infernal ? Une ère ahurissante celle imaginée par les agresseurs géopolitiques approche à grands pas. Le meilleur intérêt, non pas de nos partis politiques, mais de notre pays? L’identité de nos partis politiques n’a pas de sens car cette distinction, si bonne ou excellente qu’elle soit, ne représente qu’une infime partie de ce que nous pouvons faire pour trouver des méthodes efficaces de prévention et de traitement de nos problèmes.

Quiconque ne considère pas ces affaires à travers le prisme, du point de vue de l’avenir de l’Algérie, et dans la « dimension multinationale » se trompera de parcours et on commettra des erreurs. Conséquemment il suscitera un sentiment de honte qui se reflète aux quatre coins du pays.

Le Maghreb s’entre-déchire au grand bonheur des puissances étrangères

Le Maghreb se désarticule et se disloque sous les yeux de ses populations. L’Algérie et le Maroc au bord d’une confrontation armée, influence et lobbying israélien de plus en plus puissant au Maroc et de plus en plus sournois en Mauritanie, une Libye entièrement divisée en deux parties par la Turquie et la Russie d’un côté, l’Egypte, les Émirats Arabes-Unis et le Qatar de l’autre. Une Tunisie au bord de la faillite et en proie à des tentations totalitaires encouragées par Abu Dhabi et Riyad, le Maghreb n’a jamais connu une situation aussi complexe et dangereuse concernant son intégrité territoriale et sa souveraineté nationale.

Les récents évènements qui ont ébranlé la région démontrent la véracité de cette alarmante lecture : le Maghreb s’entre-déchire au grand bonheur des puissances étrangères qui s’implantent vigoureusement sur son territoire pour planter leurs intérêts et une influence malsaine sur la gestion des affaires internes des pays maghrébins.

Si ce programme réussit, nous perdrons un autre siècle. Ne laissez pas l’Occident arrêter une fois de plus ce pays comme il le fait depuis des siècles.  

Les centres de résistance de l’Algérie doivent prendre conscience de ce fait, se lever et agir. Cette « préparation extraordinaire exige des réponses extraordinaires ».  

Nous expliquerons ces problèmes, répondrons aux accusations, lutterons contre tous ceux qui calomnieront et renverrons les événements à l’histoire.

Comment ne pas s’apercevoir de la sincérité des faits factuels ? Mais la plupart des intervenants ne semblent pas du tout alarmés par cela. Ainsi, ils font preuve de négligence en proclamant la vérité !

Sommes-nous conscients des dangers en cours ? 

  • (1) : Election présidentielle Algérienne le 19.12.2024.

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