Par Boualem Snaoui

Il ne reste plus au lecteur, qui n’a pas encore compris que la suppression « désinfos » sur l’Algérie et son peuple,  (du système politico-médiatique colonial, armé solidement par une cinquième colonne génétiquement identifiée comme indigène,   enfermée dans la figure géométriquement reconnue « hexagonale ») s’accompagnera d’énormément d’écrans blancs et de pages vierges cathodiques, dans les bulletins d’empoisonnement du régime « O’Micron », qui « emmerde » les citoyens, pourtant tous vaccinés contre le viRusse Daoud 19 et ses variants, au moment où le leader Maximo Mumuche est allé glorifier le colonialisme de la Monarchie Alaouite, croyant échapper au « dégommage »  de Gaston Ghrenassia, le chasseur du fellagha.

C’est pour cette raison que l’auteur des fake-news islamophobes de Cologne en 2016 (ce germe né au Kamis-Akbar) condamné pour violences conjugales le 13 octobre 2019, a été titré lauréat par les Fondations de l’Institut de « Fronce » du système, le 5 juin 2019, du prix Cino Del Duca, prix O’ combien féministe, puisqu’il a ramassé 200 000 € à ce titre pour son « Peintre qui dévore crûment la femme », des mains propres de Mme Hélène Carrère d’Encausse (secrétaire perpétuelle de l’Académie française), qui est aussi membre du jury du tout nouvel  original prix littéraire (créé en juillet 2022) néocolonial de la Grande Mosquée de Paris, présidé par le « Rectum » du « colon ». Cet avocat est mûr pour la préparation des salades politiques d’Iftar colonial, surtout que le Conseil constitutionnel, dirigé par un « responsable, mais pas coupable » du sang qui sera versé par les travailleurs,  avait délibéré sur le braquage de nos retraites par le grand Capital : « Circulez, Abaya, rien à voir ». 

Pour ne pas se sentir concerné, ce « cuistot-dingo » recrute des Algériens pour une caravane vers son soleil (Chems) religieux (Eddine), du 22 octobre au 2 novembre 2023, avec un riche programme folklorique « indigène », en sous-marin politique, avec A. Boudiaf comme préparateur physique. Cet artisan du ciment Paris-Tel-Aviv aurait pu économiser son énergie en s’associant à Rahim Rezigat, l’autre promoteur de la politique du folklore « indigène », et son agence (Agence de  promotion des cultures  et du voyage) tout risques, pour faire danser les « bougnoules » dans le « ivre-ensemble ». Lui aussi est un professionnel du tourisme politique, qui organise des circuits en Algérie, où les citoyens sont présentés comme des « sujets » dans le grand zoo du  « berbéristan ». Les cacahuètes, à jeter pour les Makaks  sont-elles  incluses dans le forfait du séjour ?  Rahim Rezigat est un vrai féministe, puisque, pour attirer les clients, il n’hésite pas à présenter la femme algérienne comme un trophée de René Basset, décoré avec la fourchette de Jacques Bénet. 

L’agence de voyage (APCV), dans le futur bien ficelé pour les sujets à maintenir sous le statut du folklore indigène, au service des colons, est l’une des pépinière de correspondance des soldats de la société appelée civile, de la chaîne des 157 casernes militaires installées dans toute l’Algérie, et appartenant au « Réseau Euromed », dont une partie du commandement est installé au centre opérationnel « Anna Lindh Foundation », en Egypte. Parmi ces 157 casernes militaires, déguisées en société civile, le groupe des commandos locaux de l’association ADWAA (07, Rue Mustapha El Wali Essayed, Ex Debussy –Alger), dirigé par Noureddine Ben Braham, semble être bichonner par la « Fondation Anna Lindh ». L’autre caserne des soldats de la société civile, qui attire l’attention, est « Algerian Volunteers for peace and Cultural exchanges » de la cité MADINA Mounaoura à
SIDI BEL ABBES, dirigée par Zouaoui Mostari et Mme Boutareg Attouia. On dirait que ce groupe qui parle de paix, est bien parti pour fabriquer la guerre. Du côté des Grands intellectuels, tout à fait civils, on retrouve notamment Aicha Kassoul (ancienne diplomate et professeure à l’Institut diplomatique des relations internationales d’Algérie) et Aissa Kadri (Professeur de sociologie et directeur de l’Institut Maghreb Europe à l’Université de Paris 8, qui coordonne «Arab Spring», un programme européen d’excellence des nouveaux reptiles au sein d’un consortium de 7 universités du monde des « Arabes »).

Lagence de voyage (APCV), dans le futur bien ficelé pour les sujets à maintenir sous le statut du folklore indigène, au service des colons, est l’une des pépinière de correspondance des soldats de la société appelée civile, de la chaîne des 157 casernes militaires installées dans toute l’Algérie, et appartenant au « Réseau Euromed », dont une partie du commandement est installé au centre opérationnel « Anna Lindh Foundation », en Egypte. La fondation « Anna Lindh », aux denses ramifications politiques les plus insoupçonnables, est une création du Conseil des Ministres européen de 2005 (conformément au processus de Barcelone, rejeté pourtant par les peuples en Europe), et  titulaire d’un siège dans ce même conseil des ministres euro-méditerranéen. La référence de cette organisation, comme l’a déclaré Lucio GUERRATO, directeur exécutif de la « fondation Anna Lindh » en mars 2008, lors du colloque européen « dialogue interculturel » à l’UNESCO, n’est autre que le sommet de Davos (des pays les plus militarisés sur notre belle planète), pour dicter la feuille de route du pillage et de la soumission du Sud ! 

Il faut rappeler que la Fondation « Anna Lindh » (qui laboure le terrain par le canal de la culture) a été présidée bénévolement par André Azoulay entre 2008 et 2014, le conseiller royal du haschisch, de père en fils; ensuite par Élizabeth Guigou qui lui succéda (la ténor socialiste du système), en 2015 ! Comme l’a montré Ahmed Bensaada, dans son excellent travail sur la barbouzerie de Radio Meuuuuh dans le Hirak à la banane, cette fondation collabore aussi avec Open Society Foundation (OSF), et avec l’Open Society Institute de la multinationale de Georges Soros. 

Enfin, l’agence (APCV) de Rahim Rezigat est citée comme un partenaire de la puissante « Fondation René Seydoux »,  une organisation privée gouvernementale (baptisée non gouvernementale -ONG), reconnue utile publiquement par décret du premier ministre français en 1980,  qui constitue un pilier, si ce n’est le plus important de la Fondation « Anna Lindh ».  La fondation « René Seydoux » (présidée par le fils Jérôme), qui se donne comme objectif d’avaler les pays méditerranéens, par le biais de la solidarité entre les peuples rapprochés, est le fruit de l’alliance entre René Seydoux (Fornier de Clausonne) et la famille Schlumberger, par son mariage avec Geneviève Schlumberger. Sans vouloir faire du cinéma avec le « Pathé » de Jérôme, celui qui préside aussi une autre fondation familiale qui porte son nom « Fondation Jérôme Seydoux-Pathé », il est quand même utile de se souvenir qu’ils sont issus d’une famille bourgeoise d’industriels français du 19ème et 20ème siècles, dont le géniteur est François Seydoux (1767-1819), originaire de Vaulruz, en Suisse. 

Comme on peut le constater, on ne peut pas dire que Rahim Rezigat est au courant que ses voyages pour le « folklore indigène », se construisent dans les réseaux et les coulisses du Grand Capital d’Euromed, de la « Fondation Anna Lindh » et des  « Fondations des Seydoux ». Il ne peut pas non plus deviner qu’il navigue sur le même bateau de croisière ethnique que Ali Aït Djoudi de la « Riposte Internationale » contre le peuple algérien, avec son pote le moine Ferhat Mendel Meheni (F2M).

Un autre groupe de paramilitaires touristiques, intitulé « Day Z » par « la Fronce », laboure aussi le terrain politique en sous-marin. Parrainé aussi par l’agence « Maghreb Emergent », propriété du « barbouze moustache-pistache », ce groupe prévoit le lancement de toute une saison de business folklorique, du côté des affaires économiques, chez les « ratons ». Une belle brochette d’intervenants pour leur soirée officielle de lancement à la chasse aux petits fours (jeudi 19 octobre à Paris 13), dont Farah Khodja, l’invitée sans surprise du « Jeune Afrique », un journal totalement indépendant du royaume du haschisch et du bakchich (comme on peut le deviner), et qui adore l’Algérie!  Cette séance sera animée par Nadia Henni Moulaï et Smaïl Chertouk. La première est celle qui avait déclaré au grand journal « Le Point » d’un « faux », le 19/10/2021 : « Le soulèvement de l’Algérie avec le hirak a réveillé des choses ». Elle a complètement raison et elle nous le prouve. Quant à Smaïl Chertouk, sans étaler son riche curriculum-vitae de révolutionnaire-culinaire au couleur de la banane,  il se fera remarquer par une intervention youtubique, sur une chaîne de la toile tissée autour du peuple algérien, au côté des reptiles de la politique, dont l’excellent dénominateur commun, Chabane Kaci, l’informateur de la chaîne biblique  à l’odeur révolutionnaire au Kamis « akbar ». Il ne peut pas ne pas le connaître, puisqu’il a animé avec lui le 18 décembre 2019 une rencontre militante moderne sur le type de ravin où jeter le peuple algérien, avec l’imminent Jacques Attali, ancien et nouveau conseiller de tous les commandeurs de la Gaulle à nos jours !!!

Smail Chertouk est un grand joueur de « maux », un génie paraît-il de la transformation des organisations, et de l’innovation (dans le sens du chaos !), auteur d’une œuvre universelle  « Néojolismes», afin de  diviser (et non de  diviniser  pour régner ) le peuple algérien, comme il s’y est engagé dans une vidéo, qu’il a publiée le 2 novembre 2020! Avec toutes les casquettes politiques qu’il arbore, il a encore du temps libre pour occuper  le poste de Directeur Général (de l’armée de la société civile !),  à la Fondation de l’Islam de France (FIF), présidée par l’intouchable islamologue Ghaleb Bencheikh. Dans cette institution (ONGiste) naturellement « progressiste », puisque rejetée même par Dalil Boubakeur en 2017 (ancien Recteur de la Mosquée de Paris, qui avait dénoncé l’ingérence de l’Etat pour la domestication des Musulmans), il ne fréquente que des « révolutionnaires », qui l’inspirent sans doute pour mener le « Hirak à la banane » en Algérie: 

  • Le collège des fondateurs est constitué de trois imminents membres du système qui « é- Borne » (AUGUSTIN DE ROMANET -Président directeur général du Groupe ADP-,  JEAN-PIERRE FARANDOU -Président directeur général de la SNCF-, et ANNE-SOPHIE GRAVE -Présidente du directoire de CDC Habitat).
  • Le collège de droit divin est constitué de quatre membres  (MOHAMMED MOUSSAOUI : président du Conseil du Culte Musulman ; ERIC TISON : Sous-directeur des libertés publiques au Ministère de l’intérieur ; YANNICK FAURE : Chef du service des affaires juridiques et internationales (Secrétariat Général Ministère de la Culture), et DELPHINE PAGES-KAOUI : Adjointe à la cheffe du secteur SHS du Service de la Stratégie- Ministère de l’Enseignement supérieur).
  • Quant au collège des personnalités qualifiées (pas comme nous) ! il y a quatre autres membres homologués. Il s’agit de KAMEL KABTANE :Recteur de la mosquée de Lyon, et Président de l’Institut de civilisation musulmane ; de BARIKA KHIARI : ancienne vice-présidente du Sénat, et Présidente de l’institut des Cultures d’Islam à Paris, SADEK BELOUCIF : Professeur des Universités, Praticien hospitalier et anesthésiste du peuple ; et de DIDIER LESCHI : Haut-fonctionnaire, Directeur général de L’Office-français de l’immigration et de l’intégration. 

Je ne peux pas dérouler le curriculum-vitae de tous ces membres du système qui travaillent d’arrache-pied pour le bien-être du peuple algérien, mais je ne veux quand-même pas passer à côté  d’un grand travailleur de  l’ombre : Mikaïl CHEBEL, le président-héritier de la fondation de son père, Malek Chebel, qui s’occupe de la fabrication de la communication à la Fondation de l’Islam de France. Mikaïl a tout pour plaire, puisque, sur le site de la fondation Malek Chebel, qu’il préside, on invite l’armée de la société civile à s’emparer de leur projet de vie commune du « vivre ensemble ». Y-compris avec les coupeurs de têtes ?  Installée en France et en Algérie, cette fondation ambitionne de devenir un acteur décisif dans la recherche de la France-Algérie. On peut se détendre, Mikaïl nous a rassurés !!

L’un des solides partenaires de la Fondation de l’Islam-de-France n’est autre que l’association des « Scouts Musulmans de France », un organisme fondé le 20 décembre 1990 par le « chèque »  Khaled Bentounes, le guide du routard de la confrérie Soufie Alawiyya depuis 1975, et Président-fondateur de l’association AISA (Association-Internationale-Soufie-Alawiyya) en 2001 à Drancy (qui active en sous-marin politique, dans l’humanitaire, au Burkina Faso et au Bénin), sur les terres de l’imam intellectuel Charles Roumi. Si, avec la création des « Scouts Musulmans de France », j’en ai déduit qu’il veut la faire à l’envers au résistant Mohamed Bouras, cet adepte du « ivre ensemble », avec son association AISA, qui n’a vraiment pas peur de  cohabiter avec les coupeurs de tête au Kamis « Akbar »! 

Rappelons juste qu’il est aussi derrière la caravane du « choc des civilisations », appelée « caravane de la flamme », organisée durant l’été 2009, qui avait pris son départ de la Mosquée de Drancy, pour terminer son parcours à Mostaganem. Aux protestations contre cette malheureuse initiative néocoloniale (qui entérine le colonialisme israélien),  annoncée par Farid Aït-Ouarab (chargé des relations extérieures des SMF), c’est Camel Bechikh qui est venu au secours de cet organisme reptilien de la politique, en brouillant les pistes. Camel Bechikh, ce proche de Tareq Oubrou (Recteur de la Mosquée de Bordeaux), est membre de l’UOIF (Union des Organisations Islamiques de France, aujourd’hui appelée : Musulmans de France).  Camel Bechikh est président-fondateur de l’association « Fils de France », déclarée en préfecture le 8 décembre 2011, et publiée au Journal officiel le 17 décembre. Elle a été lancée publiquement le 9 mars 2012, en présence notamment de Tareq Oubrou, Robert Ménard, Ghaleb Bencheikh, Michel Lelong et Nicolas Dupont-Aignan. Que du beau monde! Et quel bonheur de voir s’afficher l’extrême-droite avec un autre « Rectum », et Ghaleb Bencheikh, le guide « spirit » de la Fondation de l’Islam de France. 

On dirait que le très actif « chèque » Khaled  Bentounes, Président-fondateur de plusieurs autres associations basées en Europe et au Maghreb (L’association « Thérapie de l’âme », L’association « Le centre méditerranéen du développement durable », l’association « cheikh Al-Alawi pour la Renaissance du patrimoine soufi » et l’association « Pour l’éducation et la culture soufie ») a élu  domicile chez Christian Estrosi, le maire de Nice, supporter du régime des généraux de Tel-Aviv, c’est celui qui a fait flotter, par « hasard », le drapeau israélien sur le fronton de la mairie de la Ville. Il doit être très timide ! Il n’ose pas encore s’afficher avec l’armée la plus morale du monde ! Alors il a trouvé une amitié intermédiaire, en organisant la rupture du jeûne avec son pote Estrosi, mais aussi en lui attribuant , sans rire, un prix « Lysistrata », fabriqué pour la Paix du programme MED 21 (de l’UPM de Starkozy), et confectionné  sur mesure dans le cadre du théorème d’inversion des rôles et des valeurs. 

Expert dans la confection des guet-apens de la paix entre les peuples, en effaçant le Droit à la justice, notamment pour le peuple palestinien, et après avoir lacéré l’œuvre anticoloniale  de Mohamed Bouras (le fondateur des Scouts Musulmans Algériens), voilà qu’il mobilise ses forces pour s’attaquer à la mémoire du peuple algérien, en livrant la grandeur de l’Emir Abdel Kader aux colons. Ce pillage néocolonial de l’histoire du peuple algérien a été organisé dans le grand salon de la Villa Masséna à Nice, par Khaled Bentounès, jeudi 21 septembre 2023, où ont été décorés trois membres du système de la France-Algérie: Catherine Camus (fille de son père Albert), Jean-Pierre Raffarin, et Mustapha Chérif (ancien ambassadeur algérien au Caire, et ancien ministre dans les années 1990 en Algérie, qui n’a rien vu des massacres du peuple algérien durant son mandat).

Cette cérémonie de pillage néocolonial de la « Mémoire » s’est déroulée en présence d’Eric Ciotti, le grand défenseur des deux derniers régimes coloniaux du FMI, et surtout Président de LR (Les Républicains), incarnant la ligne de l’extrême-droite, rattrapé par la fraude à la sécurité sociale de sa famille (on parle de plus de 500 000€), comme le rapporte Blandine Flipo, dans un article  en date du 16 janvier 2023. Concernant cette affaire, Paul Gratian, dans Ouest-France du 17 janvier 2023, rapporte que l’hospitalisation de sa génitrice (depuis 18 ans) a permis à sa famille d’économiser plus de 526 000 €; et le coût pour le contribuable de cette situation est estimé de 900 000 à 1,2 million d’euros. Et puis, toute cette cérémonie a été immortalisée  et gratifiée du sceau-colonial par une chaîne de télévision privée Ennahar TV, organe de propagande d’Anis Rahmani (de son vrai nom Mohamed Mokaddem), condamné en appel le 25 septembre 2022  à 10 ans de prison pour des faits de corruption. 

 Le lecteur a tout le temps pour faire une petite synthèse de cette toile tissée autour du peuple algérien, allant du « rectum », jusqu’à Eric Ciotti, en passant par Rahim Rezigat, Smail  Chertouk, Jacques Attali, Ghaleb Bencheikh, Mikaïl Chebel, la Fondation de l’Islam de France, Camel Benchikh,  les Scouts Musulmans de France, Christian Estrosi, Eric Ciotti, …etc, et surtout le grand « chèque » Khaled Bencheikh. Joli tissage politique !

Ce qui est amusant,  c’est que ces groupes touristiques (et il y a certainement d’autres productions issues de l’élevage intensif du régime colonial), n’ont vraiment pas peur des coupeurs de têtes en Algérie, surtout avec la réactivation par le système de deux grands commanditaires, Ali Belhadj et Ali Benhadjar, de la folle décennie noire de Daoud 19 !!! C’est bizarre……  

Ils ne vont certainement pas arrêter le feuilleton touristique de la politique d’« Hélène et ses garçons », même avec la disparition de cette académicienne (dont la place est très prisée par tous les Bruno « Rocailleux »  du « Tailleur » de pierres de domination), pour nous faire revivre leurs belles heures coloniales, décrites avec enthousiasme  sur les ondes « d’un faux », toujours dirigés vers le Sud, le 12 septembre 2023. 

Avant d’entamer cette « Ballade duuuûure » d’Edouard d’Izmir, avec le Baron Philippe, premier sinistré qui refuse de se retirer pour continuer à faire rire (puisqu’il a  décroché pour la seconde fois, le mardi 6 décembre 2022, le prix spécial du jury du « Press club, humour et politique 2022″), des belles heures coloniales de Bruno « Rocailleux », il nous est agréable de rappeler un peu l’histoire « préhistorique » récente de celui qui a aussi plaidé le 8 juin sur radio J, un bras de fer avec le peuple algérien, par la dénonciation unilatérale des accords internationaux de 1968, bien que signés par son régime ! 

Tout le régime militaire, appelé « républicain » (pour les besoins du système), allant d’E. Zorro (portant le masque de Marine Li Peng),  jusqu’à Gérard l’Arche de « Boué » (du recyclage des personnels politiques d’un régime sénatorial, que le peuple voudrait voir disparaître),  s’est mis debout pour porter cette rétractation de la signature des accords de 1968! Ce qui prouve que la signature du système n’a aucune crédibilité. 

Personnellement, ce qui me semble inquiétant avec l’abrogation de ces accords de 1968,  c’est que le système n’a pas peur d’affaiblir le recrutement des groupes classés terroristes en Algérie, qui manifestent librement et « démocratiquement » sur les boulevards parisiens, avec les « Abayas » tâchées de sang des innocents.  Remarque : « A Macronne » (les kabylophones comprendront) vient d’avoir une idée fantastique, après qu’il ait été éjecté du Niger avec son ambassadeur sans papiers :   il voudrait envoyer des experts en Algérie, et en Tunisie, pour lutter contre les réseaux d’immigration clandestine. Pas mal, le petit tourniquet politique!!! Il doit penser à Amir et Amira DZ (Amira Bouraoui, la fugitive révolutionnaire), le titulaire du Zelig d’Or (Ali Bensaad), Akram Belkaïd, Karim Naït Ouslimane, Aïssa Rahmoune (du droit des hommes à couper les têtes), Ali Aït Djoudi, Rachid le mécanicien (rappelé pour le service colonial), Abdou Semmar (alias Louise Dimitrakis; ou encore Skander Salhi), Mohamed Sifaoui (sans les « fonds Mariane » de Marlène Schiappa), l’équidé colonial Boualem Sansal,… à  tous ces révolutionnaires de carton fabriqués dans les laboratoires coloniaux, à ces groupes armés de couteaux entre les dents, classés terroristes en Algérie, qui défilent pacifiquement en « Fronce » avec les partis de poche (appelés de gauche) et les ONG de « défonce » des droits humains.

« Sans Tabbou »,  le plan « D » est tellement grotesque, au vu de ces temps de pandémie au  « Daoud 19 »,  que le système qui a démocratisé la Libye à coup de bombes (d’où sont acheminés les dizaines de milliers de migrants arrachés à leur terre par le mirage des Multinationales des droits de l’Homme du grand Capital), qu’on se demande ce que ce régime va encore trouver comme nouvelle ficelle ! Le plan « C »  semble correspondre à la série des réunions parisiennes, entre les « islamistes » coupeurs de têtes, et les faschos-fâchés berbéristes, tous affiliés  à l’Algérie-française,  avec le RCD (Rassemblement Contre la Démocratie) comme moteur thermique de la politique du chaos en Algérie, pour chauffer les légumes indigènes dans les casseroles coloniales! De vrais soldats de l’armée de la société-civile, qui ont figé le temps à celui des colonies, par le canal de l’histoire préfabriquée (même avant Salluste) et qui ont trouvé la bonne « démoctature » pour planter les coups de fourchette de Jacques Benet dans le dos du peuple algérien. Cette « élite progressiste » de l’indigénat post-bovide (Wled Frensa – Arew N’Frensa- descendants du général Marcel Bigeard)  ne se gêne plus, et organise même des sauteries politiques sous la statue du général Thomas Robert Bugeaud (1784-1849), comme pour célébrer les grottes à gaz, où ont été fumés les « bougnoules », comme du saumon arabe ! C’est leur vocation, puisque ces pingouins ne sont que les « cailloux » issus de l’effritement politique de Bruno « Rocailleux », jetés sur le peuple algérien, pour enrayer l’engrenage de l’espoir et de la liberté.    

En mission militaire pour le système, chez Christophe le « Barbier » à l’écharpe rouge, pour une banale diffusion d’idées lumineuses, Bruno « Rocailleux » avait déclaré que l’arme fatale est chargée, disponible pour être dégainée : « On a une résolution qui est toute prête, qui est au chaud … » pour bombarder  « les Algériens qui considèrent qu’ils ont un droit de tirage illimité moral sur la France ? et qui considèrent que la colonisation leur a donné des droits éternels, notamment des visas… ». Et comme pour agrémenter sa séance, il a même donné des leçons de lutte contre le pillage des richesses du peuple par une caste politique au service du colonialisme,  hébergée douillettement dans les grands palais parisiens ! Ce qui n’est évidemment pas le cas de leur protégé « ami le roi », de Gilles Perrault, propriétaire de châteaux qu’on ne compte plus,  et d’un Hôtel particulier sur le Champ-de-Mars de 80 millions d’euros.  

Il aurait au moins pu aller au bout des idées du système, et  proposer un bracelet électronique « Rolex » à ces voyous en col blancs, comme pour l’ancien et nouveau « Starkozy », lequel, à force d’être mis en examen, va finir par être très instruit pour mener son « Temps des combats » contre l’Algérie. Ce dernier, qui était le premier élu (2007/2012) du système colonial militaro-industriel, auteur principal de la théorie de la régression inféconde du mathématicien Houari Addi (celui pour qui les grandeurs physiques sont commutatives, et Mourad la « Tartine » un Erdogan algérien) de « Lion », a inauguré la nouvelle voie écologique du racisme contemporain. Ce néo-écologue au bracelet « Rolex », « démoctateur » de la Libye,  nous a gratifiés d’une belle équation sur le dérèglement climatique, qui serait dûe à la fécondité des Africaines. C’est son soutien  « Heil Sevran! » qui lui a soufflé cette idée d’outre-tombe? 

Remarquez, il avait déjà brillé par son discours à Dakar, le 26 juillet 2007, en déclarant que le drame de l’Afrique était dû au fait que « l’homme africain n’est pas assez entré dans l’Histoire », et non à l’esclavage, au colonialisme et au pillage des ressources du continent par la « France à fric ». Sinon, il va falloir demander aux salariés en France qui est le fabuleux « sinistre » du système de « Sa Courtoise Suffisance », Ministre du budget en 1993 du « Chamoine », « étrangleur ottoman » de Mitterand,  qui a inventé l’impôt sur l’impôt (CSG-cotisation sociale généralisée non-déductible). Les salariés payent jusqu’à nos jours des impôts sur des revenus qu’ils ne perçoivent pas. 

Sans perdre la ligne des « cailloux de couture politique coloniale »  de Bruno « Rocailleux », on ne prend pas beaucoup de risques en rappelant que, suite aux révoltes générales du pays après la mort de Nahel en juillet 2023,  ce membre du système  est celui qui avait été pris en flagrant « délire » de plagiat de l’extrême-droite, en déclarant : « On connaît les causes. Bien sûr que si, il y a un lien » avec l’immigration ». « Pour la deuxième, la troisième génération, il y a comme une sorte de régression vers les origines ethniques ». Et comme si ce n’était pas suffisant, il en remet une « belle couche » sur les heures heureuses de l’Algérie-française : « Certes, ce sont des Français, mais ce sont des Français par leur identité …». Il ne faut pas voir le mal partout, il n’y a vraiment pas de racisme dans ces propos sortis de la bouche de « roche Bruno », puisque ce dirigeant du système (rejeté par les peuples africains) a été signataire d’une pétition, intitulée « Protégeons les Arabes qui dialoguent avec Israël »  regroupant un lot de députés (dont Meyer Habib), de sénateurs (dont Roger Karoutchi), d’anciens ministres (comme Bernard « Cauchemar » sans les sacs de riz) du régime, avec deux premiers d’entre-eux : Edith Cresson  (la « Amabotte » du « Bébête show »)  et Manuel « Valls, avec les loups ». Son nom apparaît juste à côté de Boualem Sansal, l’équidé colonial à la belle crinière montée à l’envers, le pote d’E. Zorro, à qui le journal communiste « l’Humanité » consacre de belles pages de communication dans ses colonnes. Va trouver l’erreur !!!

Quant à l’histoire « coloniser-exterminer » des « Indigènes », il a livré le mantra du système dans le joli papier hebdomadaire de « Valeurs actuelles » néocoloniales du « vieux » Geoffroy (de son vrai nom, pour les DZ,  Le Jeune), dont l’arrivée à la tête du JDD (Journal endimanché du prolétaire groupe Lagardère), après une grève historique des journalistes, a ouvert une nouvelle aire de jeux, mais surtout une chasse aux « ratons ». C’est Gabrielle Cluzel, relayée par Pascal Praud,  sur la chaîne « Z news », qui a trouvé une formule magique en parlant de fossilisation de la haine de la « Fronce » par le peuple algérien. Elle a bien pris place sur les starting-blocks, cette blonde qui corrige l’histoire avec du Tipp-Ex sur l’écran de fumée noire de Bolloré, car elle n’a pas l’amour de la « Fronce », qu’expriment notamment les peuples africains, en brûlant le drapeau tricolore, les représentations diplomatiques et les ambassades du régime militaire colonial, sous une couverture civile ! 

Que veux-tu répondre à Gabi Cluzel, la cheftaine du site d’extrême-droite « Boulevard Voltaire » lancé en 2012, par le couple Ménard (Robert et Emmanuelle), et par Dominique Jamet (vice-président du parti « Debout la France » de Nicolas Dupont-Aignan) ? Je ne comprends pas la plainte de La nouvelle Toutologue réac’ des chaînes « d’un faux »  de Manuel Vicuna, qui est dans l’ère du temps des colonies, puisque les agences militaires « Indigènes » du tourisme colonial se chargent d’acheminer les soldats collabos de la société civile dans la nouvelle Algérie…

Si Pascal Praud a débusqué le complot des migrants, avec l’invasion du pays par les  punaises de lit, le gouvernement sans « Borne » de Moussa Darmanin, a annoncé que 3000 personnes, « pour beaucoup des médecins et des avocats », sont fichés S (document administratif des services de renseignement français, classant des personnes susceptible de mettre en danger la sûreté de l’État français). Je suppose que les terroristes du peuple algérien, ces coupeurs de têtes génocidaires comme les écocidaires, ne sont pas concernés. 

C’est dans ce contexte que l’ONU (à qui on peut faire confiance pour maintenir le monde des puissants aux commandes)  a missionné (du 16 au 26 septembre 2023) la « Vuvuzela Clément Nyaletsossi Voule », un expert du respect des droits à la liberté de réunion pacifique et à la liberté d’association en Algérie, croyant trouver les mutilés, les éborgnés des révoltes de France, et même Jérôme Rodrigues, à Oran. Va demander à la Vuvuzela Clément de rendre visite à  Mumia Abu-Jamal chez l’oncle Sam ; à Julian Assange, chez les Windsors ; à Georges Ibrahim Abdellah en France ; à Marwan Barghouti, hébergé gracieusement (pour 5 générations) dans les belles prisons israéliennes ; ou encore à Naama Asfari, ce militant Sahraoui condamné à 30 ans de prison par un tribunal militaire des généraux du beau royaume de l’Ouest ; et à tous les vrais militants de la liberté qui croulent dans les prisons coloniales….. Il sait ce que les régimes « démoctateurs » réserveraient à son intention, même imaginaire !

Cet ancien salarié  d’Amnesty International, un organisme financé à hauteur de 100 millions de dollars par « l’Open Society Institute » de Georges Soros, et dont l’ancienne directrice, Irene Khan (qui s’est vue octroyer une indemnité de départ de plus de 600 000€), a soigneusement évité de visiter le musée de la Résistance Algérienne -non gouvernementaleque fait vivre contre vents et marées, Ammi (Tonton) Mohamed Freha !  Ce qui prouve que ce dernier, qui est l’un des premiers gardiens du temple des « Droits de l’Homme » des peuples, fait encore trembler jusqu’à nos jours les tenants du tourisme colonial, et leurs commanditaires rapaces, qui veulent transformer ce lieu de mémoire de tout un peuple, en une épicerie « arabe » de l’import-export. 

Et comme son temps est précieux, auprès des néo-collabos, il peut toujours se rattraper en se penchant, loin du Bachelor obtenu en Droits Fondamentaux à l’Université de Nantes, et de son Master obtenu à l’Université de Genève (ville qui fourmille de reptiles ONGistes), au moins en parcourant les mémoires indélébiles de la Résistance pour les « Droits de l’Homme » du peuple Algérien, gravées par Ammi Mohamed Freha, dans ses œuvres historiques (Editions Dar El Gharb : editions.dar.elgharb@gmail.com, 2019).  

A l’instar de notre commandeur « O’Micron », en visite dans la région d’Oran, Clément la Vuvuzela des « Droits de l’Homme » a aussi soigneusement évité de rencontrer Si Abderrahmane Mostefa, ce vrai chercheur algérien qui lui aussi aurait certainement proposé une visite guidée de la liberté de leurs expressions à gazer les villageois dans les grottes à gaz du Dahra (commune de Nekmaria), où autour de 1000 villageois de Ouled Riah ont été fumés comme du saumon, entre le 18 et le 20 juin 1845, par Pélissier, sous les ordres de Bugeaud, les beaux Généraux civilisateurs, fêtés en fanfare à Paris par les traîtres des peuples! Ils ont bénéficié de la belle expérience de la « défonce » des droits de l’Homme par la même armée civilisatrice sous les ordres de  Cavaignac, qui avait organisé le 11 juin 1844, un « méchoui arabe » géant avec les villageois des Sbéhas, comme gibier. S’il est vraiment intéressé par la liberté d’expression, il trouvera quelques pistes sur la liberté de griller les « ratons » dans « les enfumades du Dahra », chez Amar Belkhodja (Ed.Mitidja Impression, 2014), l’historien interdit par le système qui a sélectionné des bricoleurs historiens frisés des salons coloniaux, comme Malika Rahal, le berbériste Makak Ali Guenoun, ou encore « l’Oranois » du « Berbéristan » Amar Mohand Ameur ( le compagnon de plateau de Benjamin Stora Bora), pour effacer  la trace des autres « grottes à gaz » recensées par l’imminent historien Hadj Bechikh : « La grotte de Ghar Sikh, dite aussi Merkez Si Sellem douar Sidi Messaoud Ouled Mallah Mostaganem, Ghar Layachine commune de Lazharia Tissemsilt, Grotte des Ouled Ben Dahmane, au-dessus des Gorges de Palestro, une grotte à Azaïza, dans la commune d’Amieur (Tlemcen), Ghar Ben Mechtouh djebel Tirchiouine, Sidi Slimane Batna, la grotte d’Aït Lahcène dans la commune d’Illoula Oumalou Tizi-Ouzou, la grotte de Azrou Merzoug à Tizi Meghlaz Ouzellaguen Bougie, grotte Macchabée dans le Djurdjura, grotte au lieu dit Terchioui près de Mac-Mahon Tébessa ».

La Vuvuzela Clément n’a pas jugé utile non plus de rencontrer Hadj Bechikh, un historien algérien, qui en compagnie de Si Abderhaman Mostefa, ont démasqué les joyeuses  cuves de la mort de Aïn Isser (Tlemcen), de  Sfisef (Sidi Bel Abbès), de Mouzaïa (Blida), de Hadjadj (Mostaganem), et bien d’autres,  où des Algériens ont été liquidés par fermentation,  dans les réserves vidées de leur jus de raisin, et péri asphyxiés par le gaz délétère (CO2) résultant du dépôt de vin. 

Je dois arrêter cette escapade touristique des bienfaits de la colonisation, car je risque de donner de nouvelles idées anciennes, toujours d’actualité, à Vuvuzela Clément, qui doit voyager (avec Boualem Sansal et sa troupe à la queue leu-leu, rappelant sa belle coiffure) sur l’un des porte-avions ricains des « Droits de l’Homme », en route pour de nouvelles aventures démocratiques, pour civiliser un peu plus de deux millions de palestiniens du ghetto de Gaza (qui n’est pas un camp de concentration), aux côtés de son 51ème Etat, comme au temps des Indiens, en compagnie de l’armée la plus morale du monde, et des autres armées naturellement démocratiques (toutes civiles), afin de réaliser le magnifique génocide qu’attend toute l’humanité. 

Source : Algérie 54
https://algerie54.dz/2023/10/14/neocolonisation-35/

Proposé par Djerrad Amar